À la fin de l’année 1968, la 365 GTC prend le relai de la 330. Elle ne se distingue du modèle qu’elle remplace qu’à la position des ouïes d’aération du moteur, qui ne se trouvent désormais plus sur les ailes mais sur le capot. Le véritable changement est technique avec l’adoption d’une mécanique 4,4 litres, telle qu’on la retrouve également sur la 2+2 depuis plus d’un an. La vitesse de pointe n’évoluera que peu, les accélérations étant quant à elles privilégiées. La production ne durera pas plus d’une année, d’où un nombre de modèles produits particulièrement bas, dépassant tout juste les 150 unités. 

L’auto sur laquelle vous allez enchérir est rare à plus d’un titre. Non seulement, elle fait partie des 152 exemplaires ayant été produits par Ferrari, mais surtout, uniquement des 6 au monde dans cette configuration tel que l’atteste le rapport de Marcel Massini. 

Son faisceau d’allumage a été remplacé en 2016 par Dino Sport, avec dépose/repose des têtes d’allumeur, tout comme une vidange fut effectuée en juillet 2023. Elle sera livrée à son nouveau propriétaire avec son historique de facturation, sa roue de secours et son cric, ainsi que le dossier Ferrari Classiche.